Modernisation de la fonction publique
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit "gramophone"
Arnac La Poste samedi 11 octobre 2014
Introduction et remerciements
Une nation qu’elle soit grande ou petite nécessite des services publiques à plusieurs titres. L’éducation, la santé, la sécurité des biens et des personnes, l’action judiciaire, le traitement de l’eau, la fourniture d’électricité, de gaz, la téléphonie et bien d’autres activités, qui concernent notre quotidien comment l’identité, l’état civil.
Dans un monde en évolution vertigineuse, force et de constater que les mœurs, les lois, notre manière de concevoir le monde ; est beaucoup plus en retards vis à vis des besoins d’adaptation que l’on puisse le croire.
Nous pouvons même parler de fierté, de nos services de santé publique, car il est sur que l’Organisation Mondiale de la Santé, OMS, exhibé en exemple pour le monde notre système de santé, mais hélas de cela il y presque vingt ans en arrière.
Quant aux résultats comparatifs des étudiants, en vingt ans la France aura aussi perdu quinze ou vingt places. Une piste déjà, le traitement de l’eau à la ville de Paris, est resté une fonction publique, d’où le prix de l’eau, une des moins chers toutes les villes comparées en France.
J’ai une admiration sans pair pour mon professeur de sciences sociales de l’Institut Technique Industriel de Cartago en Colombie, Professeur Julio Cesar Aguirre, admiration partagé avec mon professeur d’Épistémologie de l’Université Technologique et Pédagogique de Pereira, admiration non moindre de ma très chère professeur CONSUELO ma prof de psychologie, ou encore du " loco Carlos de Santuario " mon très cher professeur d’arts plastiques. Qui avec l’ensemble de professeurs d’éducation primaire, secondaire et universitaire à la liste trop longue, m’auraient appris une manière particulière de voir le monde.
Indice
L’histoire de la fonction publique
La fonction publique
L’éducation et la culture
La sécurité des biens et des personnes
Services et profit
La croissance et l’emploi
La loi de l’offre et la demande
Le prix et la valeur
L’état et la patate chaude.
L’environnement
1° L’histoire de la fonction publique
Nous pourrions aller très loin dans le passé pour observer, les différentes formes de gestion, des besoins communaux ; en fait la réalité de la fonction publique, est liée aux besoins des populations, qui grandissent, une agglomération déjà avec trois cents familles, exige une gestion ordonnée de certains tâches, d’une banalité tel que, le citoyen type, arrive même à oublier qu’il est dépendant des services publiques : l’électricité, l’eau, la collecte des déchets, le traitement des eaux usées ; des activités indispensables pour la vie, tout à coup, nous semble quelque chose donc nous n’avons pas à nous occuper. Sauf qu’il faut un travail méthodique, coordonné pour garantir les services publiques, et cela quelques soient les circonstances.
Des travaux d’anthropologie et archéologie nous montrent que la ville de Carthage, (ville disparu déjà) disposé d’un excellent système d’égouts, d’autres études montrent que dans certains villes de l’antiquité il y avait de l’eau potable, dans les maisons, voilà une partie du patrimoine de l’humanité. Où les besoin du quotidien, sont prise en charge par des structures, PAS TOUJOURS RENTABLES.
2° La fonction publique
La taille d’une agglomération détermine la proportion des besoins en moyens techniques et personnes, arrive en suite la nécessaire fragmentation de la géographie, pour des raisons diverses (hors sujet) Le nombre d’habitants étant toujours un élément clé de cette fragmentation, pour déterminer les besoins. Naisse ainsi le besoin de différentier la fonction publique au plus près du citoyen (fonction publique territoriale) et une nécessaire fonction plus distante, qui doit gérer en principe des questions plus complexes et pas nécessairement les besoins quotidiens, c’est la fonction publique d’état. Il faut avouer qu’il est difficile par fois déterminer le périmètre de chaque fonction, par exemple qui doit gérer l’éducation ? Qui doit s’occuper de la modernisation des besoins en énergie électrique ? Qui doit s’occuper de l’indemnisation des gens sans ressources ?
3° L’éducation et la culture
La culture reste difficile à définir, car la culture est aussi l’art, hélas l’art dans sont ensemble, couvre des activités très haut placés das la pyramide de MASLOW, chose qui va à l’encontre de la volonté non moins louable de certains personnes bienveillantes, mais que vue de cette angle, indispensable de la psychologie, implique le besoin d’une ensemble de prérequis, de conditions pour qu’elle puisse être d’abord enseignée, puis en suite développée par tout et chacun, la culture est intégrée au comportement dans une proportion difficile de mesurer, qui dépend de facteurs du milieu socioprofessionnel déjà des parents. La culture dans sont ensemble fini par être différente (sauf certains exceptions comment pour toute règle) en fonction du niveau sociale du citoyen. Élever le niveau de culture est sans doute diminuer le niveau d’échec scolaire, diminuer le décrochage ! Au but élever la culture (une caricature ?) est synonyme de diminution des prisons.
Un citoyen est utile à la nation en fonction de son degré de formation, d’autant plus qu’il va s’épanouir beaucoup mieux, réussir sa vie privée et professionnelle en proportion exponentielle, à sont niveau d’études. Bien qu’il ait des exceptions. L’éducation n’est pas une industrie qui soit rentable à très court terme ; car l’état investi dans l’éducation des enfants, des adolescents, des universitaires, pendant, (en fonction du décrochage, des ressources des parents, etc.) pendant quinze ans (pour la plus part des gens de classes modestes, qui vont jusqu’au CAP) pour presque vingt ans (pour les jeunes qui vont jusqu’au bac) pour trente ans (pour les enfants des classes aises qui font l’université)
L’investissement pour un élève de classe primaire est moins de la moitié que l’investissement pour un élève d’université ! Les statistiques montrent qu’il y a un procès ou filtre, les meilleurs (ceux que sont poussés par les parents, ceux qui sont plus contrôlés par les parents) vont encore plus loin, l’état investi beaucoup plus.
Au but, il y a des différences substantielles, car le citoyen aura une rémunération fort différente ! Mais " en théorie ", participerait d’avantage à la formation du PIB de la nation. Raison pour laquelle les nations doivent donner priorité aux programmes de recherche scientifique, là où, doit se trouver la base du développement, du progrès, vis à vis des autres nations. Là où l’état étant en pointe des techniques et technologies vienne récupérer sont investissement ; sous forme de citoyens épanouis, des citoyens heureux, mais aussi sous forme de moins de délits, de moins de conflits sociaux, (c’est à dire moins de besoins de police, moins de besoins de prisons, moins de besoins de tribunaux) l’inverse est d’ailleurs une réalité, un signe, un indice, une sorte de thermomètre des bonnes ou mauvaises conditions d’une nation.
4° La sécurité des biens et des personnes
Lorsque j’habite dans un endroit fort reculé des grandes agglomérations, il m’arrive de me soucier beaucoup moins de savoir si j’ai bien fermé ma porte ou ma fenêtre avant d’aller dormir. Lorsque je me promène dans un sentier voir une ruelle d’un petit village des Pyrénées ou du Jura, je prendre presque aucun risque de me faire voler mes documents d’identité dans ma sacoche. Lorsque j’habite dans une ville comment Marseille, Lyon, Lille ou Paris, puis d’avantage dans certains quartier, alors je prends beaucoup plus de risques.
Nous savons que plus une ville est grande, moins les gens se connaissent, moins les gens se connaissent, plus nous allons trouver qui voudra en profiter des plus vulnérables, le manque d’éducation, le manque de culture, rends l’être humain vulnérable, il y a plus de propension à perdre sont emploi, lorsque vous manqué d’un CAP, que lorsque vous avait le niveau d’ingénieur en informatique. Alors là, quand il manque de quoi manger et qu’il n’y pas de travail, pour des raisons (hors de sujet) diverses, arrive la tentation, d’aller prendre ce qui ne nous appartient pas ! c’est là, qui naisse la délinquance, la violence, les besoins de police, de gendarmerie, des avocats, des juges, et des prisons.
Bien entendu que c’est une vision romantique, une vision puérile, une vision naïve de la société, sauf que si je vais faire une enquête parmi les gens d’une prison, et que je demande jusqu’à quel année ils ont arrivé dans l’éducation nationale, neuf sur dis dirons qu’il sont juste était au collège, encore que certains le dirons pour ne pas avouer qu’ils ont jamais mise les pieds au-delà de l’école primaire.
Les prisons sont de nous jours les véritables centres de formation de milliers de citoyens, c’est le niveau équivalent de l’université pour les plus favorisés, le niveau bac est obtenu de nous jours dans la rue, à côté de gens sans scrupules dédiés à tout type d’activité illicite.
La sécurité de la population, est une nécessité, d’ailleurs, l’emploi est une nécessité, hélas il faut aborder d’autres sujets, pour expliquer l’accroissement exponentiel de la délinquance, Il faut aller voir monsieur John Christensen, spécialiste de l’industrie financier, aller connaître, pour quoi pas ? l’opinion de Joseph E. Stiglitz, sur le modèle capitaliste, pour trouver " LES VÉRITABLES RAISONS " du développement accéléré de la misère, misère économique certes, mais misère intellectuel au but.
5° Service et profit
Une erreur monumentale serait de chercher à rendre rentable, du point de vue de la production financière, les services de police ou de gendarmerie, S’il faut augmenter le nombre d’agents en uniforme dans une ville, dans une prison, il est absurde aller chercher une forme de rentabilité dans un délai de quelques heures, ou de quelques jours comment il est fait quand les " COMMERÇANTS EN BOURSE " investissement 20 ou 30 millions, dans un lot de pétrole ou de sucre, qu’il vont vendre quelques heures plus tard pour 22 ou 34 milliards.
La notion de service, depuis sa définition sociale et étymologique implique une action, sans qu’elle soit nécessairement lucrative en faveur d’autrui, ou d’un groupe de personnes. Hors quand un " commerçants en bourse " hachette à neuve heures de matin pour 15 millions d’un produit " X " qu’il compte déjà a l’avance vendre trois heures plus tard pour 16 millions. En premier lieu, la seule notion de service ici est celle de augmenter le capital de celui ou de ceux qu’il représente, tout en spéculant, c’est à dire que le consommateur final du produit " X " fini par payer 1 million plus cher. Il faut admettre que ce procès de commerce mondiale existe belle et bien et que nombreuses personnes le critiquent depuis l’intérieur, L’ensemble de livres de Joseph E. Stiglitz, le travail de Miret Zaky, Etienne Chouard, Edouard Tétreau, Pierre Péan, Antoine Peillon ou encore Thomas Piketty, dans une liste non exhaustive, nous enseignent avec chiffres à l’appui, avec graphiques, avec luxe de clarté, combien devienne nuisible, dommageable pour l’équilibre et l’harmonie sociale la manière comment fonctionne l’industrie financière.
6° La croissance et l’emploi
De continuer à produire alors que moins de 3 % des gens récupèrent plus de ¾ du fruit du travail. Continuer à augmenter la capacité de production, sans augmenter la capacité de consommation, est une erreur monumentale, une erreur possible par cause de la cupidité, mais aussi par cause de la collusion, de la connivence entre la plus part de ceux qui se disent représentas des intérêts de la communauté avec les représentants des sangsues de la finance.
Pendant que 1000 emplois sont supprimés en France, ce sont mille foyers fiscaux qui perdent le pouvoir d’achat, donc une perte aussi pour l’état que tout le monde le sais récupère 49 % des recettes de la TVA, et 25 % des recettes d’impôt sur le revenu. Quand même, les emplois crées ailleurs, c’est bien! Oui sauf qu’ils n’aurons que 10 % du pouvoir d’achat, quand c’est pas moins, car en Inde, même des enfants vivent avec moins de 1,4 euros par jour.
7° Loi de l’offre et la demande
Il y a une fâcheuse tendance à oublier dans cette idée, l’élément à mon sens, primordiale, c’est-à-dire la marchandise ou produit en question, oui l’on parle d’offrir ou de demander, mais quoi ? C’est une marchandise ou un service.
Bien que les services aillaient une place pour ainsi dire équivalente aux produits ou marchandises, j’avoue que pour des raisons pédagogiques, nous allons parler du produit de la manière la plus simple possible.
Comparons deux foyers ; un dispose de trois télévisons, et trois ordinateurs, l’autre ne dispose pas de ce genre de besoins. Mais les deux foyer auraient un revenu similaire. Sur cinq années, pour ne pas alourdir les coûts, un des foyers aurait à débourser les prix de trois télévisions à 500€ et de trois ordinateurs à 500€ la somme culmine à 3000€, si le salaire des deux foyer est de 1500€ et que l’achat aurait eut lieu dans la même année ?
Un foyer standard moderne, arrive à dépenser de nous jours dans des domaines, que si bien semblent " nécessaires " ne sont pas vraisemblablement indispensables, plus qu’un foyer " à la campagne " qui s’en passera de l’Internet, de la téléphonie mobile, et sans doute de la télévision à écran plat. Cette différence sans compter le prix des équipements restera variable, sans doute compensée par d’autres activités (le foyer en ville, aura des loisir de ville, cinéma, location de films, etc, tandis que le loisir à la campagne se traduit en coût différents, mais des coûts tout de même, des engrais, des semis, des accessoires de pêche, de chasse, qui peuvent à un moment donné équilibrer les loisir de ville, saut que le produit du jardin se transforme en consommation, qui doit au but se soustraire aux achats en grande surface. (légumes, le fruit de la pêche et de la chasse) Raison pour laquelle le foyer " en ville " fini par avoir des coûts de vie plus élevés, de 10 % à 20 %, lorsque l’on ajoute le coût de l’Internet, la redevance TV, dans une liste que sans doute se traduit en confort qu’il faut payer. Sans ajouter le coût de certains " à côté " : le prix des équipements nécessaires comment c’est les appareils de téléphonie mobile, les écrans plat, les ordinateurs.
8 ° Le prix et la valeur
La valeur marchande et la valeur d’usage aura occupé déjà depuis des siècles, nombre de personnes ( Ricardo, Smith, Marx, Quesney, Greslin...) Au fait la comparaison de deux foyer, est une sorte d’excuses pour signifier que sans doute pour un foyer un écran TV signifie 500€ tandis pour autre foyer le même écran (puisqu’ils n’expérimentent pas le " besoin ") veut 0€, pour le premier foyer un téléphone " smartphone " (nous le voyons dans les mains de gens modestes) signifie 500€, tandis que pour un foyer récalcitrante vis à vis de la modernité la valeur du " téléphone tactile " est 0€.
Ainsi nous pouvons constater qu’il y a la valeur marchande, et la valeur d’usage. Sans le moindre doute, c’est la valeur marchande qu’interfère en partie dans les foyers modestes, lorsque le consumérisme affecte presque de manière maladive les gens. Il est très important souligner que pour un foyer du premier décile l’achat d’un écran plat équivaut à 60 % du revenu mensuel, tandis que l’achat pour un foyer du neuvième décile le même achat équivaut à 15 %.
Sur une année (dans le cas de dix fois sans frais) la différence est de 5 % pour le décile de 10 mille euros contre 1,25 % pour le décile de 40 mille euros. D’autant plus que les foyers le plus haut dans la pyramide de MASLOW, donc j’en connais des personnes, leur niveau de connaissances sur le consumérisme leur aide à s’échapper d’une sorte de maladie du maniaque-compulsive, à de tels nivaux que vous ne pouvez pas leur envoyer des messages avec vidéo ou image car leur téléphone ne les reçoit pas, ou encore vous verrais d’autres choses dans leur salons, des belles toiles, des bibliothèques, et très discrets des écrans de télévision, même à tube cathodique encore. Alors que dans des appartements à loyer modéré vous trouvez le dernier cri en télévision plate et 3D.
Il y a parmi nous éminents politiques ceux qu’auraient occupé les banc de l’ENA ? De HEC ? Etc., donc ces messieurs-là auraient lu Jean Bodin, Thomas Malthus, Adams Smith, et pour quoi pas John Stuart Mill, allée poussons plus loin Jean Jacques Rousseau, puisque nous sommes là, allée Karl Marx et Frédéric Engels, et oui. Il faut avoir lu un certains nombre de travaux pour comprendre que la loi de l’offre et la demande, déterminent le prix, et bien d’autres choses parfois imposés par la publicité à travers les médias, des " besoins artificiels " (Noan Chomsky) !
Surtout si nous pensons à Keynes, et sont excellente action de 1944 à côté de White, le GATT, vous savez ? Alors vous voyez, (un immigré, illettré, sans jamais avoir eu la chance d’occuper les bancs de l’école de Charlemagne) Oui la délocalisation, crée des usines, low-cost pour produire encore moins cher, mais nous génies de la finance, dans leur faim de profit, oublient qu’en supprimant l’emploi dans certains pays au pouvoir d’achat non négligeable, et en créant de l’emploi "DE FORCE " sans le même niveau de pouvoir d’achat, c’est comment tuer la poule aux œufs d’or.
9° Les état et la patate chaude
Le pouvoir est transféré des état vers la nébuleuse des finances, les sangsues, sont une sorte des enfants mal élevés qui cassent les vitres de fenêtres des gens en jouant, (crises de 2008) puis les états sont des gens naïfs qui vont leur rendre le ballon, avec un gros sourire, mais en plus en leur donnant de l’argent pour qu’ils achètent plus de ballons ! (pour sortir de la crise la FED aura prêté pendant des mois à taux zéro chaque moi 80 milliards de dollars, la BCE n’a pas été en reste ! Remplacer les vitres des fenêtres coûte aux bas mots quelques 15 mille milliards de dollars en USA, combien ailleurs ?
En prime le des-emploi aura grimpé à 12 ou 15 % par exemple en France, alors que l’équilibre de la protection sociale supporterait difficilement un taux de chômage de 6 % qui est responsable ? Qui doit payer ?
10° L’environnement
L’évolution, le progrès sont à l’origine de profonds changements dans le comportement, à mesure que les sociétés se modernisent, augmentent leurs besoins, en ressources naturelles ; une transformation radicale de la manière de vivre composée d’une augmentation de la consommation d’énergie électrique, augmentation des besoins en communication, téléphonie mobile, Internet et bien plus.
Les grandes agglomérations ont besoin en proportion à leur taille des volumes d’eau potable, d’énergie électrique, de traitement des déchets et des eaux usés, au point que le système et sa cupidité à trouvé encore dans ces besoins une possibilité de s’enrichir sans efforts, l’eau ainsi est devenu dans nombreuses villes au monde une industriel rentable, au même titre que la téléphonie, la télévision, puis voilà que l’éducation et la santé deviennent des sources potentielles et déjà sources réelles de florissantes industries.
L’environnement pourrait être une source de nombreux emploi, tout en réduisant la consommation de gaz (chauffage où s’opère un lucratifs marché d’importation, voir la balance économique) pour cela s’avère nécessaire une politique fiscale agressive pour pousser les propriétaires d’habitats et les futurs propriétaires à consommer du matériel destiné à l’isolation thermique.
La production et distribution d’énergie électrique, est un service publique, hélas la cupidité et l’absurdité poussent le pays à la privatisation (au sein des institutions de la CE, se trouvent des gens sans validation par le suffrage universel, anciens des grandes banques d’affaires) alors l’injonction est donné à la France de privatiser ! Le prix du kilowatt heure, sera augmenté chaque année, pour favoriser les investisseurs en détriment des consommateurs. Le procès de transition vers des énergies moins polluantes, les dites énergies vertes, est loin d’être une priorité lorsqu’il s’agit de parler de profit à très court terme.
Reste à souligner qu’il est urgent une éducation du citoyen pour aller vers une inversion de l’évolution de la consommation d’énergie, des habitudes doivent être adoptés, des équipements doivent être plutôt étains que laissés en veille. Il est difficile tenter d’arrêter les centrales nucléaires, avec les niveau de consommation type d’une population en évolution constate où les besoins augmentent aussi.
Ce chauffer au bois générée bien plus de CO2 que se chauffer au gaz de ville. Mais le gaz de ville, implique d’autres risques et d’autres coûts qui seraient pas comparables, le bilan carbone au but me semble fort bien illisible à premier abord pour le consommateur surtout lorsqu’il est possible de se chauffer via le courant électrique.
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