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16 juillet 2015 4 16 /07 /juillet /2015 17:20

Le fond de la pensée

Qui aura rêvait de pouvoir connaître la pensée des autres ? Oui il peu y arriver que nous aillons envie de savoir ce que pense une personne, alors voilà, à travers des mots écris ici, je suis en train d’ouvrier grande la porte d'entrée dans ma pensée, au fait cela signifie tout simplement qu'en lisant vous saurait ce que je pense.

Beaucoup d'années auraient sans doute déjà passé, cela invite au bilan, mais alors quel bilan ? Bilan global, professionnel, bilan sentimental ? Il y a un mot que résume ou mieux autorise à s’évaluer c'est un anglicisme d'ailleurs qui nous parle de comparative de plusieurs entreprises (BENCHMARKING) dans mon adolescence j'avais pour habitude ecouter de la musique, puis un jour j’entendu la chanson DESIDERATA de Jorge Lavat

https://www.youtube.com/watch?v=jYXG9euhY-w

“ si tu te compares avec les autres tu deviendras vain et malheureux ”

“ Si te comparas con los demas de volveras vano y amargado ” (en espagnol)

Oui il ne faut pas se comparer dans la plus part des cas, mais cela s'applique à la majorité des humains, alors qu'une minorité ne vie que pour triompher, c'est cette minorité qu'adore se comparer dans cette course maladive au profit.

Nécessairement si nous avons une vision semblable, à l’énergumène qui vie dans la cupidité, nous voulons en permanence progresser, cela ne serait pas mauvais de tout et d'ailleurs il y a même des thèses et idéologies qui font étalage de cette tendance à l’amélioration, à être chaque jour meilleur, sauf qu'à force il arrive nécessairement le besoin de tricher de mille façons, et la manière la plus simple de progresser pour les esprit malsains reste celle d'écraser les autres, de quelque manière qu'il soit. Soit par la critique, soit par le dénigrement, soit par toute manière possible de passer devant lui. Hors ici nous pouvons lister une foule de tactiques les unes plus nuisibles que les autres, toutes contraires à des principes d'éthique, de morale qui constituent le socle même de l'altruisme.

Là nous sommes dans le plus profonde de ma synapse, dans les plus profonds méandres les plus profonds de mon système nerveux. Puisque pour ne pas nuire des personnes, il m'arrive de me taire, sauf que cela se traduit à long terme en complicité, car garder silence sur des faits, nuisibles, revienne à être complice. Pire encore sans avouer sur la responsabilité d’autrui il arrive que des erreurs me soient attribués.

C'est dommage savoir certains choses, et ne pas œuvrer pour y remédier ayant touts les moyens d'y apporter une solution ; tout particulièrement quand année après année, nous avons même pris le risque de présenter notre opinion. Cela étant, nous serions alors qu'une trop remonte option aux yeux de projets des personnes, nous serions un choix invraisemblable ! Mais tout se tiens, car tel un sélectionneur d'une équipe de ballon-pied il y a nécessité de faire des choix, et nous n'aurions pas les qualités requises pour occuper la place que nous aurions rêve toujours de prendre. C'est alors lorsque j'écris que ma synapse est dévoilée dans sont intégralité, parce que si bien au yeux des gens j'ai une place quelconque, la vérité est que cette place est malgré toutes les apparences, une place d'apparat ou de façade, dans l'intimité elle s'effondre, et reste maintenu par le courage et la modestie , car d'une part j'admets avoir commis des erreurs, mais dans la partie adverse des fautes d'une gravité majeur ont eut lieu, j'ai eu connaissance, et ce genre de fautes sont beaucoup plus graves que mes égarements puériles et absurdes.

Maintenir une façade, plutôt pour la flemme de devoir recommencer ça vie, oui mais pour combien de temps ? Avec quelles conséquences ? Les années ont passé, certes avec un début prometteur, mais touts les débuts le sont, puis les années en passant nous ont montré l'un vis à vis de l'autre avec nos qualités mais aussi nos défauts, comment dans touts les couples par manque de clairvoyance ou perspicacité nous avons laissé tomber dans la routine, une connivence qui c'est transformé en monotonie puis en indifférence. Au jours d'aujourd'hui “ cor meum libera, et quaerit soulmate ” “ My heart is free, and looking for a soul mate”

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